Créations


Le pouvoir

Auteur : Thierry Marie VINCENT
Mise en scène : Philippe BOYAU
Costumes Bernadette : SUCHOD
avec Thierry Marie VINCENT

Un homme qui a gouverné sans partage son pays pendant des années se retrouve soudain devant un tribunal international. La surprise passée, il fait volte-face et décide de justifier au nom de la raison d'état, du Bien du Peuple et de Pouvoir lui même, tous ses crimes, ses exactions et ses trahisons...
Que signifie exercer le pouvoir ? A quel prix et jusqu'où ?
Comment les dictatures justifient-elles leur existence et leur pérennité ? Et les démocraties, dans leur bonne conscience proclamée, ne profitent-elles pas à leur tour des dictatures pour s'enrichir et assurer le bien-être de leurs citoyens ?
Loin des jugements manichéens, ces textes invitent le lecteur à méditer cette phrase de Montherlant selon laquelle "Il est parfois moins admirable d'user de son pouvoir, que de se retenir d'en user."


Feu mon n+1

Auteur : Jacques MERVANT
Mise en scène : Philippe BOYAU
Costumes Bernadette : SUCHOD
avec Bénédicte MARCHAND GABRIEL

Le portait admiratif et sans concession d'un chef charismatique par une femme qui a été sa secrétaire personnelle pendant douze ans. Les deux personnages ont existé. Ce monologue dralatise les mémoires qu'elle a écrit sur sa collaboration avec lui. Parti de rien, il a fondé en peu de temps un véritable empire. Elle a été témoin de son ascension fulgurante et de sa chute vertigineuse. Parallèlement à ce portait apparaît celui de la narratrice : une femme fascinée par un jeu de dupes dont elle n'est pas entièrement dupe. Une vie totalement saccagée par la servitude volontaire.



Le retour

Adaptation théâtre de Thierry Marie VINCENT
Mise en scène par Philippe BOYAU, Thierry Marie VINCENT

Avec 
Alvan HARVEY : Jean MORALES
Son épouse : Bénédicte MARCHAND GABRIEL

Le Retour est une des premières nouvelles écrites par Conrad en 1898 et une des rares à ne pas avoir la mer comme décor. Conrad, contemporain de Freud et de Tcheckov, saisit à travers ce texte le moment d'une bascule sociétale : l'inéluctable effritement du système patriarcal.
Commencé comme un vaudeville, le texte s'achève en une grinçante tragicomédie sociale et mentale : Le Retour est l'histoire d'un retournement, celui d'une femme qui ne peut que se dresser contre son mari, le joug de la bienséance et des conventions mondaines ayant annihilé chez elle tout désir.


A corps perdu

X, jeune auteure, a connu pendant quelques années, en même temps qu’elle faisait des études supérieures de Lettres, la vie de prostituée de luxe.

L’œuvre fait bien plus que dévoiler l’intimité de son auteure : elle nous force à regarder en face le mensonge selon lequel la femme serait aujourd’hui émancipée et l’égale de l’homme…



Invasions

  Une femme dont le pays est en train de basculer à nouveau dans la guerre, se souvient de sa rencontre avec un homme, vingt ans auparavant.

 


Le cortège des ombres


Union soviétique – 1948 – Leningrad
Un musicien, une poétesse - Chostakovitch, Akhmatova.
Ils sont persécutés. Ils ont peur. Ils se demandent comment résister.




"Malher-Freud"


L’après-midi de Leyde

Un jour d’aout 1910, le chef d’orchestre et compositeur Gustav Mahler traverse la moitié de l’Europe en train pour venir consulter Sigmund Freud qui passe des vacances en Hollande.




"La folie Lacan"

Présentée au festival Off d'Avignon en 2015


En montant un spectacle à partir de présentation de malades que Jacques Lacan – figure de la psychanalyse française au XXème siècle, autant que merveilleux homme de théâtre – faisait à l’hôpital Ste Anne, nous tentons de faire revivre le Lacan clinicien, dans sa recherche passionnée d’écoute du malade qu’il suivait dans les méandres de sa folie, pour s’efforcer de trouver un territoire commun et une leçon dont il ferait profiter ses élèves. De ce travail sont issues beaucoup d’inventions lacaniennes.

Mise en scène : Philippe Boyau
Lacan : Thierry Vincent
Les patients : Céline Thibaud, Frédéric Michallet
Costumes : Bernadette Suchod
Visuel : Lola Boyau


"Les leçons du Professeur Charcot"

Le nom du professeur Charcot est à jamais lié à l'exploration de troubles neurologiques, mais ce sont ses présentations de malades, où le Tout Paris était convié, qui ont assuré sa notoriété et en particulier la représentation "vivante" qu'il donnait de l'hystérie, conçue d'abord comme un trouble neurologique aussi spécifique que spectaculaire. C'est ainsi que près d'un siècle et demi après, nous proposons une mise en scène d'une "leçon du mardi" telle que le professeur Charcot avait l'habitude de la faire dans son service, à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris.

Mise en scène : Philippe Boyau
Mme Bottard : Bernadette Suchod
Les patients : Céline Thibaud, Jean Morales
Costumes : Bernadette Suchod
Visuel : Lola Boyau


"Le contrat"



Le PSY ?  C’est celui qui reçoit vos désirs, vos pensées secrètes et intimes, mais aussi vos menaces et vos malédictions. Vous pouvez lui parler de tout : il est neutre, bienveillant et silencieux … mais au jeu du désir, tout n’est pas si simple !

Mise en scène : Philippe Boyau
Le psy : Frédéric Michallet
Le mafieux : Didier SONNIER
Jean-Louis : Jean MORALES



 

 

"Le Psy"



Ce spectacle se déroule en  deux parties successives de 45 mn chacune, environ, un peu à la manière d’une série télévisée.

Le premier épisode met en relation quatre personnes : un psychanalyste et trois de ses patients ; ceux-ci sont, d’une façon ou d’une autre, hors normes et chacun mettra le thérapeute dans une situation limite, à la fois cocasse et grinçante.

Le deuxième épisode sera la suite attendue des premières séances, permettant de découvrir un peu plus les patients/personnages. Le public s’attachera à leur personnalité, à leurs problèmes, à leur vie intime.
Mais la fin de ce deuxième épisode n’apportera pas de réponse définitive à ces « tranches de vie », de la même façon que le travail analytique reste toujours à faire et à refaire.


"Les anciennes odeurs"

Jean-Marc, professeur adulé, et Luc, comédien nouvellement célèbre, se retrouvent ce soir.
 Succès, célébrité, admiration… peu à peu l’image se brise et fait place aux vérités trop longtemps cachées.
 Leurs rêves et leurs faiblesses apparaissent dans un dialogue rempli d’humour, de complicité et d’émotions… comme rarement deux hommes se révèlent à eux-mêmes.



avec   Frédéric  Michallet   et  Philippe Vic

Mise en scène   Philippe Boyau  assisté de Céline Thibaud






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